Le 7 octobre sous un autre jour : et si tout avait été planifié par Netanyahu ?
Le 7 octobre sous un autre jour : et si tout avait été planifié par Netanyahu ?, le décryptage, le décryptage.fr, ledecryptage, ledécryptage, site, média, presse, news, conflit, guerre, fait-divers, info, journal, économie, justice, decrypt, décrypte, décryptons
Par Ryan •

Le 7 octobre 2023, une frontière supposée sécurisée se transforme en chaos. Un ordre inattendu est donné : ne pas patrouiller. Shalom Sheetrit, soldat israélien, est stupéfait. Devant la Knesset, en juillet 2025, il témoigne et présente un enregistrement audio qui laisse penser que cette décision inhabituelle a laissé son unité vulnérable aux attaques.
Officiellement, l’armée israélienne parle d’échecs de renseignement. Mais les faits et les témoignages suggèrent un autre scénario. Investig'Action et PressTV indiquent que la confusion régnait, et que l’inaction ce matin-là pourrait ne pas être un simple accident.
Des hélicoptères Apache et des tanks israéliens tirent sur des zones où se trouvent des civils israéliens. Des dizaines, peut-être des centaines, de morts sont signalées, notamment à Kibbutz Be’eri. Selon Haaretz et Anadolu Agency, les scènes sont terrifiantes. La "Directive Hannibal" est évoquée, mais certains experts se demandent : tout cela était-il prévu ?
Ce matin-là, la frontière n’est plus qu’un théâtre de confusion. Mais les choix militaires et l’absence de patrouilles pourraient-ils avoir été orchestrés pour un objectif précis ? Les questions restent ouvertes.
Le Premier ministre Netanyahu a refusé une commission d’enquête d’État indépendante sur le 7 octobre, déclarant que ce n’était "pas le moment" en raison de la guerre en cours. Il a préféré un panel choisi par lui, suscitant des accusations de partialité. Times of Israel et Haaretz soulignent que cette décision alimente le doute sur ses intentions réelles.
En février 2025, la Knesset adopte une loi interdisant l’entrée aux étrangers niant le 7 octobre ou l’Holocauste, ou soutenant des poursuites internationales contre des citoyens israéliens. Des projets connexes visent à punir toute coopération avec la CPI. Pour certains observateurs, ces lois ne sont pas seulement préventives : elles pourraient protéger des intérêts personnels ou politiques.
Des déclarations passées de Netanyahu ravivent encore le doute. En 2019, lors d’une réunion du Likoud, il aurait déclaré : "Quiconque veut empêcher la création d’un État palestinien doit soutenir le renforcement du Hamas et le transfert d’argent au Hamas". D’autres phrases qualifiées d’"horribles" par ses détracteurs décrivaient Gaza comme un "territoire à soumettre" et la Palestine comme "une menace à neutraliser".
Regarder le 7 octobre à travers ce prisme laisse planer une question inquiétante : et si ce chaos n’avait pas été un accident, mais une série de décisions planifiées ? Le témoignage de Sheetrit, les tirs sur les civils, l’absence de commission indépendante et les déclarations passées de Netanyahu forment un puzzle troublant, où le hasard semble absent.