Brigitte Macron, en se connectant aux impôts découvre qu’elle s’appelle « Jean-Michel dit Brigitte Macron ».
Brigitte Macron, en se connectant aux impôts découvre qu’elle s’appelle « Jean-Michel dit Brigitte Macron »., le décryptage, le décryptage.fr, ledecryptage, ledécryptage, site, média, presse, news, conflit, guerre, fait-divers, info, journal, économie, justice, decrypt, décrypte, décryptons
Par Ryan •
 
Brigitte Macron a récemment vécu une situation pour le moins surréaliste. En se connectant sur le site officiel des impôts, impots.gouv.fr, la Première Dame a découvert que son profil affichait le nom « Jean-Michel dit Brigitte Macron ». Une mention impossible à modifier, qui a semé la confusion au sein même de l’Élysée. L’épisode, raconté par Tristan Bomet, directeur de cabinet de la Première Dame, a été révélé dans un documentaire diffusé sur BFMTV.
Cette situation cocasse mais troublante prend une dimension particulière dans le contexte actuel, marqué par des années de rumeurs infondées sur l’identité de Brigitte Macron. Depuis longtemps, des théories complotistes circulent, prétendant à tort qu’elle serait née homme et qu’elle s’appellerait Jean-Michel Trogneux, le nom de son frère. Le couple présidentiel a régulièrement porté plainte pour diffamation, en France comme à l’étranger, pour tenter de stopper la propagation de ces mensonges.
Selon notre confrère BFMTV, le bug ou la manipulation détectée sur le portail fiscal a immédiatement alerté les services techniques de l’État. Tristan Bomet a confirmé avoir refait la procédure lui-même et constaté la même anomalie : « C’est une partie réservée à l’identifiant, donc impossible à modifier ». Cette mention inhabituelle a aussitôt conduit à une plainte officielle de la Première Dame, les autorités cherchant à comprendre l’origine de cette modification.
Le documentaire de BFMTV lève le voile sur les attaques numériques et psychologiques auxquelles le couple Macron fait face depuis plusieurs années. Cette nouvelle mésaventure illustre à quel point la désinformation en ligne peut infiltrer des plateformes officielles. D’après les informations recueillies, deux personnes auraient été identifiées dans le cadre de l’enquête, sans que leur rôle précis soit encore établi.
À l’Élysée, cette affaire est prise très au sérieux. Une intrusion administrative sur un site gouvernemental, même limitée, représente une faille potentiellement grave. Au-delà de l’incident technique, elle relance le débat sur la sécurité des données publiques et sur la capacité des institutions à se prémunir contre les manipulations ciblant les personnalités politiques. Brigitte Macron, pour sa part, poursuit sa lutte contre la diffamation numérique, symbole d’une époque où les frontières entre la rumeur et la réalité sont de plus en plus floues.
Cette affaire, entre erreur technique et malveillance potentielle, révèle la vulnérabilité des systèmes publics face à la désinformation. Elle souligne également combien une simple anomalie en ligne peut raviver de vieilles rumeurs et alimenter le climat de méfiance qui entoure la sphère politique française.
 

 
 
 
 
