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Le GP Explorer 3 a tenu toutes ses promesses sur le circuit Bugatti du Mans ce dimanche 5 octobre 2025. Devant 80 000 spectateurs et plus d’1,4 million de viewers sur Twitch — un record national —, Karchez a écrasé la concurrence, dominant essais, qualifications et course. L’influenceur espagnol s’impose largement devant Kaatsup et Maxime Biaggi, dans une édition marquée par les rebondissements et la tension.

Dès le tour de formation, le spectacle commence : SCH voit son moteur rendre l’âme avant même le départ. Les mécaniciens de la FFSA parviennent à changer le moteur à temps pour qu’il prenne finalement le départ, un exploit en soi. Au premier virage, Ander part en tête-à-queue et rétrograde au fond du classement, tandis que Théodort, parti 3e, finit dans les graviers après un second incident, provoquant une Safety Car précoce.

À la relance, Karchez s’échappe avec une aisance impressionnante, creusant un écart de huit secondes en un tour. Derrière, la bataille fait rage entre Ludwig, Maxime Biaggi, Squeezie et Djilsi. L’organisateur de l’événement entame alors une remontée furieuse, dépassant tour à tour Houdi puis Gotaga, déclenchant l’euphorie des tribunes et du chat Twitch en feu.

À six tours du drapeau à damier, le podium semble promis à Kaatsup, PLK et Squeezie. Mais au virage 9, un dépassement audacieux tourne mal : la pilote Alpine ferme la porte sans voir arriver son rival, envoyant Squeezie en tête-à-queue dans le dernier virage. Sa folle remontée s’achève brutalement, sous les applaudissements d’un public debout.

Tadej Pogačar impérial

Il n’y aura guère eu de suspense ce dimanche 28 avril tant Tadej Pogačar, champion du monde en titre, a survolé la course en ligne des championnats du monde de cyclisme sur route, organisés pour la première fois en Afrique. Après avoir dynamité la course dans le mur de Kigali, à 105 kilomètres de l’arrivée, que le Slovène a rapidement pris dans un scénario de course semblable à celui des championnats du monde de Zurich l’année passé.

Si le Slovène a un temps été suivi par l’Espagnol Juan Ayuso et le Mexicain Isaac del Toro, l’Espagnol explosera presque à l’arrêt dès la difficulté suivante, le mur de Kigali et ses terribles 400 mètres à 11 %. Quant à Isaac del Toro, s’il réussit à suivre un temps le Slovène — qui ira jusqu’à l’attendre afin de le garder à ses côtés — le Mexicain lâchera rapidement prise.

Personne ne reverra jamais le Slovène qui s’offre donc, au terme d’un raid solitaire de 66 kilomètres, un deuxième titre de champion du monde consécutif, dans un championnat déjà considéré par beaucoup de coureurs comme la course la plus difficile de leur vie. Sur 165 coureurs engagés, seuls 25 ont terminé les 267,5 kilomètres que comptait le championnat du monde

Lors des championnats du monde de cyclisme à Kigali, David Lappartient, président réélu de l’Union Cycliste Internationale (UCI), a fermement écarté toute idée de sanctions envers l’équipe Israël-Premier Tech et ses coureurs israéliens. Cette prise de position intervient après les manifestations qui avaient perturbé la dernière étape du Tour d’Espagne, la Vuelta, le 14 septembre dernier, en réaction à la participation de l’équipe.

Interrogé sur les bases légales de possibles sanctions, Lappartient a insisté sur l’absence de fondement juridique pour exclure cette équipe. « Nous ne sommes pas là pour punir, le sport ne doit pas être instrumentalisé politiquement. Nous lançons un appel à la paix », a-t-il souligné. Le président de l’UCI a également précisé que les coureurs israéliens prendront part aux Championnats d’Europe, prévus du 1er au 5 octobre dans l’Ardèche et la Drôme, insistant sur le caractère normal et légitime de leur participation.

Lappartient a insisté sur le principe de non-discrimination dans le sport, affirmant que tous les athlètes sont les bienvenus, qu’ils soient israéliens, palestiniens ou de toute autre nationalité. « Le sport n’est pas un outil de sanctions », a-t-il déclaré, rappelant que l’inclusion doit primer sur les considérations politiques ou diplomatiques dans les compétitions sportives internationales.

Ousmane Dembélé remporte le Ballon d’Or, récompensant une saison spectaculaire et consolidant sa place parmi l’élite mondiale.

Après une saison où il s’est montré décisif à de multiples reprises, avec des buts magnifiques et des passes clés, Dembélé s’impose désormais comme l’un des meilleurs joueurs du monde. Cette distinction est le couronnement d’un parcours impressionnant et d’une résilience remarquable face aux obstacles et aux blessures qui ont jalonné sa carrière.

Sa technique, sa vitesse fulgurante et sa capacité à déstabiliser n’importe quelle défense font de lui un joueur complet et redoutable. Le Français a su transformer son potentiel en résultats concrets, contribuant directement aux victoires de son club et à son rayonnement sur la scène internationale.

Ce Ballon d’Or met en lumière non seulement ses performances sur le terrain, mais aussi sa progression personnelle. Après plusieurs saisons marquées par des blessures importantes et des moments de doute, Dembélé a su retrouver un niveau de performance exceptionnel et prouver qu’il pouvait rivaliser avec les meilleurs joueurs du monde.

Le trophée récompense également son influence au sein du FC Barcelone, où il est devenu un joueur clé, capable de changer le cours d’un match à lui seul. Sa créativité, son sens du dribble et sa capacité à accélérer le jeu en font un atout indispensable pour son équipe et un joueur admiré par ses pairs.

Ousmane Dembélé a connu un parcours fulgurant depuis ses débuts dans les équipes de jeunes en France jusqu’au sommet du football mondial.

Né à Vernon, dans l’Eure, Dembélé se distingue très tôt par sa vitesse, son agilité et sa technique hors norme. Repéré par le Stade Rennais, il intègre rapidement les équipes de jeunes du club et se fait remarquer pour ses performances impressionnantes en championnat de jeunes et en coupes nationales.

L'équipe de France a souffert mais s'est imposée face à l'Islande au Parc des Princes.

Menés après une erreur de Michael Olise, les Bleus ont renversé la situation grâce à Kylian Mbappé, buteur et passeur décisif.

Le score final de 2-1 leur permet de prendre seuls la tête du groupe D des qualifications à la Coupe du monde.

Vendredi, ils avaient débuté la campagne en battant l’Ukraine 2-0 avec autorité.

Contre l’Islande, plus compacte et réaliste, les Bleus ont concédé l’ouverture du score par Andri Gudjohnsen.

Marcus Thuram a buté à plusieurs reprises sur Elias Olafsson avant que Mbappé n’égalise sur penalty.

Ce but était son 52e en sélection, dépassant Thierry Henry et égalant Zinédine Zidane en nombre de brassards portés.

En seconde période, l’attaquant parisien a encore brillé en offrant une passe décisive à Bradley Barcola pour le 2-1.

Réduits à dix après l’expulsion d’Aurélien Tchouaméni, les Bleus ont résisté jusqu’au coup de sifflet final.

Le 13 août 2025, la Supercoupe de l’UEFA s’est ouverte sur une image forte et inhabituelle au stade Friuli, à Udine, en Italie. Juste avant le coup d’envoi du match opposant le Paris Saint-Germain à Tottenham, neuf enfants réfugiés — venus d’Afghanistan, d’Irak, du Nigeria, de Palestine et d’Ukraine — ont pénétré sur la pelouse en tenant une grande banderole blanche sur laquelle étaient inscrits en lettres bleues : « Arrêtez de tuer les enfants, arrêtez de tuer les civils ». Par ce geste, l’instance européenne voulait attirer l’attention des spectateurs et des millions de téléspectateurs sur la situation dramatique que vivent les enfants et les populations civiles dans les zones de guerre. Le silence qui a régné dans le stade au moment où la banderole a été déployée a renforcé l’impact émotionnel de cette initiative.

Sur X, le réseau social anciennement connu sous le nom de Twitter, l’UEFA a relayé une photo de la scène accompagnée du commentaire : « Depuis la Supercoupe à Udine, le message est clair et net. Une bannière. Un appel ». Cette action n’était pas isolée. Elle s’inscrivait dans un programme plus large organisé par la Fondation UEFA. Les neuf enfants réfugiés ont été rejoints par 22 joueurs mascottes, 20 porteurs du cercle central et 40 autres enfants défavorisés ou atteints de maladies, venus de quartiers pauvres autour d’Udine. Ensemble, ils ont formé un cortège destiné à accueillir les équipes sur le terrain. Après la cérémonie, tous ont pu assister au match depuis les tribunes, symbolisant l’unité et l’espoir au-delà des frontières et des conflits.

France Football a dévoilé les 30 finalistes du Ballon d’Or masculin 2025 : pour la première fois, aucun ancien vainqueur n’est nommé, laissant place à une nouvelle génération.

Autres candidats majeurs : Lamine Yamal (18 ans, FC Barcelone), prodige évoqué aussi pour le Kopa Trophy, ainsi que Mohamed Salah, Erling Haaland, Raphinha, Robert Lewandowski, Jude Bellingham, Declan Rice, Scott McTominay fait également sensation en devenant le premier Écossais en 38 ans sélectionné au shortlist après une saison MVP en Serie A avec Naples.

Les joueuses de la WNBA (Women's National Basketball Association) ont demandé une amélioration de la sécurité dans les salles après l'interruption de deux matchs en quatre jours en raison de sex-toys jetés sur les parquets.

Les Golden State Valkyries ont connu une semaine fructueuse avec trois victoires en trois matchs. Mais la franchise californienne, qui dispute sa première saison en WNBA, a vu deux de ses rencontres être brièvement interrompues pour une raison incongrue : des jets de sex-toys.

Mardi, leur match contre l'Atlanta Dream a été arrêté à la dernière minute après qu'un sex-toy vert fluo a été lancé depuis les tribunes. L'objet a rebondi sur le sol alors qu'il ne restait que 50 secondes au chrono du quatrième et dernier quart-temps, sans toutefois toucher aucune joueuse.