Netflix rachète Warner Bros pour 83 milliards : Hollywood devient une succursale du capital.,Netflix, Warner bros, rachat, LeDecryptage, LeDecryptage.fr, Le Decryptage, le décryptage, le decryptage, ledecryptage, fait-divers, actualités, informations, news, info, actu, monde, conflit, média, guerre

C'est désormais officiel : Netflix s’est offert Warner Bros pour 83 milliards de dollars. Oui, tu as bien lu : 83 milliards, soit l’équivalent de transformer deux siècles de culture hollywoodienne en un simple bouton “Ajouter au panier”. Le cinéma américain, déjà pas très en forme, vient de vivre son grand moment Avengers : l’ère de la consolidation. Netflix, qui jouait autrefois le rôle du petit trublion contre les vieux studios, est maintenant en train de devenir l’empereur galactique du divertissement. Le voilà propriétaire de Warner Bros, HBO, leurs catalogues immenses, leurs franchises cultes, leurs séries mythiques… en gros, tout ce qui faisait Hollywood avant que les algorithmes ne décident des scénarios. Le plus ironique ? Netflix n’a pas acheté seulement des films et des séries. Il a acheté un symbole : celui de la culture aspirée par la logique financière. À ce niveau-là, on ne parle même plus de rachat, on parle de digestion industrielle.

La culture comme marchandise XXL

Tu te souviens quand les studios se disputaient pour produire des œuvres qui marqueraient leur époque ? Aujourd’hui, ils se disputent pour savoir qui pourra le plus vite transformer ces œuvres en flux monétisables. Ce rachat n’est pas l’avenir du cinéma : c’est le triomphe du capitalisme culturel. Hollywood, cette grande machine à produire du rêve, se transforme progressivement en machine à produire du contenu, ce mot fade, sans âme, parfaitement calibré pour ne fâcher personne et rapporter beaucoup. 83 milliards, ce n’est pas le prix du cinéma. C’est le prix de son absorption. Netflix ne rachète pas une entreprise : il rachète un imaginaire collectif. Il s’offre une bibliothèque qui façonne l’enfance de millions de gens. Et comme tout bon monopole en construction, il pourra ensuite décider ce qui doit exister, ce qui doit être effacé, ce qui doit être “remaké”, ou ce qui doit être optimisé pour plaire au plus grand nombre ou au plus grand profit.

Shein dans la tourmente : le commerce français déclare la guerre au géant de la fast-fashion

Paris se lève contre Shein. Le géant chinois de la ultra-fast fashion, Shein, se trouve aujourd’hui au cœur d’une véritable offensive de la part du commerce français et des autorités. Plusieurs fronts sont engagés : juridique, réglementaire et symbolique. Ce bras de fer s’intensifie alors que Shein inaugure sa première boutique permanente à Paris, dans un contexte de forte contestation.

Une amende record et des pratiques commerciales très critiquées

En juillet 2025, la DGCCRF a infligé une amende de 40 millions d’euros à Shein. L’enquête montre que de nombreuses promotions affichées étaient trompeuses : plus de la moitié ne correspondaient à aucune réelle réduction. La DGCCRF pointe aussi des allégations environnementales exagérées, remettant en cause la transparence de la marque.

Une loi anti-Shein adoptée par le Sénat

En juin 2025, le Sénat français a adopté une loi ciblant les plateformes d’ultra-fast fashion comme Shein. Les principales mesures incluent l’instauration d’un éco-score obligatoire, une taxe écologique pouvant atteindre plusieurs euros par article, ainsi que l’interdiction de la publicité pour ces marques et la sanction des influenceurs qui les promeuvent.

Action collective : des commerçants français intentent un procès

Plus de 100 marques et 12 fédérations du commerce français ont lancé une action en justice contre Shein pour concurrence déloyale. Elles dénoncent un modèle économique jugé destructeur pour les acteurs implantés en France, mettant en avant des avantages réglementaires dont Shein bénéficierait.

Orange, Bouygues Telecom et Free (Groupe Iliad) ne désarment pas. Malgré le rejet de leur proposition à 17 milliards d’euros par Altice France, maison-mère de SFR, les trois opérateurs confirment leur intention de racheter une grande partie des activités du groupe de Patrick Drahi. Cette offre conjointe, qualifiée de « non engageante », vise à bâtir un projet industriel commun, pensé pour « renforcer la résilience des réseaux et préserver un écosystème concurrentiel au bénéfice des consommateurs ».

Dans un communiqué, les trois opérateurs affirment rester convaincus de la pertinence de leur proposition et appellent à un « dialogue constructif » avec Altice et ses actionnaires. L’objectif affiché : parvenir à une consolidation du marché français des télécoms, aujourd’hui fragmenté entre quatre grands acteurs. Le trio espère que cette initiative permettra de relancer la dynamique d’investissement et d’assurer la maîtrise d’infrastructures jugées stratégiques pour le pays. Mais du côté d’Altice, le message reste ferme : l’offre est jugée insuffisante.

Selon l’analyste Stéphane Beyazian (Oddo BHF), cette proposition « ne couvre pas l’entièreté d’Altice France » et se situe sans doute au plancher de la valorisation estimée par les créanciers. Patrick Drahi, réputé pour ses négociations âpres, chercherait à faire monter les enchères.

Uber for Women est une version du service pensée pour offrir plus de sécurité et de confort aux femmes. Le principe est simple : permettre de choisir une conductrice quand c’est possible, et rendre le suivi du trajet plus clair et rassurant. L’idée est née de la demande d’utilisatrices qui se sentaient parfois mal à l’aise ou inquiètes lors de trajets nocturnes ou en zones isolées. Depuis son lancement, le service attire surtout des jeunes femmes et des mères, souvent séduites par la tranquillité d’esprit qu’il procure.

Les premiers retours montrent une hausse du sentiment de sécurité et une diminution des signalements liés à l’inconfort. Les utilisatrices apprécient aussi la transparence du profil de la conductrice et la possibilité de partager la course en temps réel avec un proche. Dans les grandes villes, où plus de conductrices sont disponibles, l’expérience est fluide. En revanche, dans les petites communes, le service reste limité et parfois frustrant, faute de conductrices actives.

Globalement, Uber for Women séduit par son côté rassurant et sa simplicité. Les femmes interrogées parlent d’un changement concret dans leur façon de se déplacer, surtout la nuit. Même si tout n’est pas parfait, le service semble répondre à un besoin réel et encourage à repenser la sécurité dans les transports partagés.

Domino’s Pizza fait peau neuve avec un nouveau branding plus simple et moderne. Le logo, plus épuré, garde le célèbre domino rouge et bleu, mais dans une version plus nette et facile à lire sur tous les supports. L’idée : rendre la marque plus claire, plus reconnaissable et adaptée aux écrans. Les couleurs ont été ravivées pour être plus dynamiques, tandis que la typographie devient plus lisible et plus directe. Ce changement s’inscrit dans une tendance générale où les grandes enseignes simplifient leur identité pour s’adapter aux usages numériques et aux petits formats, sans perdre leur personnalité.

Le design du packaging suit la même logique : boîtes, sacs et uniformes adoptent des lignes plus sobres et des visuels plus cohérents. Le but est de renforcer la présence de Domino’s sur les plateformes de livraison et les réseaux sociaux, tout en rendant chaque commande plus identifiable. Le slogan et le ton de communication évoluent légèrement, avec une approche plus directe et conviviale, pensée pour les jeunes consommateurs habitués au digital. Résultat : une image plus fraîche et cohérente, qui reflète mieux l’identité d’une marque rapide, accessible et connectée.

Crise et redressement judiciaire. La marque de mode IKKS, connue pour ses collections chic et urbaines pour enfants, femmes et hommes, a été placée en redressement judiciaire par le tribunal des activités économiques de Paris. Basé à Saint-Macaire-en-Mauges (Maine-et-Loire), le groupe fait face à une situation critique après plusieurs années de turbulence dans le secteur du prêt-à-porter en France. Cette décision survient deux ans après un plan de relance et place désormais plus de 1 000 emplois en danger, tout en ouvrant une période d’observation jusqu’en avril 2026. La procédure concerne uniquement les activités françaises de l’entreprise.

Historique et mesures précédentes. En février 2024, IKKS avait mis en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), prévoyant la suppression de 202 postes sur 1 328 et la fermeture de 77 magasins et corners sur 604. Finalement, seulement 140 postes ont été supprimés grâce aux mesures de reclassement, sauvant environ une soixantaine d’emplois. Le groupe avait également obtenu l’abandon de certaines dettes par ses créanciers et des injections de liquidités de ses investisseurs pour soutenir son activité.

Il se fait appeler Yanis BGH sur les réseaux sociaux et compte plus de 200 000 abonnés sur TikTok ainsi que plus de 80 000 sur Instagram. Physique athlétique, hôtels de luxe, vie de rêve à Dubaï : il est pourtant aujourd’hui au cœur d’une polémique qui enfle rapidement.

Contrairement à ce que certains affirment, Yanis explique qu'il n’a jamais prétendu être lui-même trader. D'après lui, depuis le début, il explique clairement qu’il s’appuie sur une équipe de professionnels du trading qui gèrent la partie technique et l’analyse fondamentale. Son rôle est avant tout de rendre ce service accessible à sa communauté, en leur permettant de suivre des stratégies et d’apprendre également le trading.

Pourtant, un récent live TikTok a déclenché un flot de critiques. En invitant un internaute à intervenir, Yanis s’est retrouvé face à des questions très techniques. Alors qu’il rappelait qu’il ne gérait pas directement la partie analyse, beaucoup lui ont reproché de ne pas répondre lui-même. Certains ont même jugé suspect le fait qu’il ait simplement bu de l’eau à plusieurs reprises durant le live. Des détails qui ont vite été amplifiés sur les réseaux, où de nombreuses moqueries circulent désormais en commentaires et en vidéos.

Starbucks a confirmé un vaste plan de restructuration prévoyant la fermeture de cafés et la suppression de 900 postes. L’annonce s’inscrit dans son programme « Back to Starbucks » lancé par Brian Niccol, mais elle intervient alors que la marque est fragilisée par un mouvement mondial de boycott pro-Palestine. Officiellement, l’entreprise évoque des établissements jugés non rentables ou incapables d’offrir l’expérience client attendue. Pourtant, des analystes notent que la campagne de boycott, amplifiée après la guerre Israël-Gaza, a directement pesé sur sa fréquentation, notamment en Amérique du Nord et au Moyen-Orient, où son partenaire AlShaya a déjà supprimé plus de 2 000 postes en 2024. Les pertes estimées de Starbucks dépassent 1 milliard de dollars, dont 400 millions en dépréciations et 600 millions pour indemniser les salariés licenciés.

Le groupe, qui compte près de 18 300 établissements aux États-Unis et au Canada, espère malgré tout faire croître ce chiffre en 2025/2026. Mais la crise d’image pèse lourd : en Bourse, l’action a chuté de 1 % jeudi matin, portant le recul annuel à 8,5 %. De nombreux médias rappellent que Starbucks a déjà dû démentir à plusieurs reprises tout soutien financier à Israël, mais la perception publique reste entachée. Les campagnes de boycott, relayées sur les réseaux sociaux, apparaissent désormais comme un facteur crédible de cette restructuration, aux côtés d’autres pressions économiques telles que l’inflation et la concurrence accrue sur le marché du café premium.

King'Dultes débarque à La Défense

King Jouet ouvre un magasin entièrement dédié aux adultes, nommé King'Dultes, dans le centre commercial Les 4 Temps à Paris.

L'entrée du magasin est marquée par une enseigne lumineuse affichant le nom King'Dultes en majuscules.

Une figurine géante Star Wars et une jeune femme en costume asiatique accueillent les visiteurs dès leur arrivée.

Malgré un jour de semaine, de nombreux clients sont venus découvrir le concept innovant.

Les visiteurs soulignent l'esthétique et l'ambiance du magasin, qui les incitent à explorer les produits.

Le concept s'inscrit dans la tendance "kidulte", mélange de "kid" et "adult", visant les adolescents et adultes qui achètent des jouets.

Selon Circana et l'étude Junior City pour King Jouet, la majorité des ventes sont réalisées par des personnes âgées de 19 à 55 ans.

Le marché global du jouet est en recul depuis trois ans en raison de la baisse de la natalité, mais le segment kidulte est en forte croissance.

Ce segment représente près d'un tiers des ventes de jouets en France et a contribué à la croissance globale de 9% du marché en 2025.

Pour répondre à cette demande, King Jouet a développé une offre spécifique de 2.000 références en décembre, puis 2.700 aujourd'hui, et a créé des zones dédiées dans ses magasins existants.

Uber Trains défie Eurostar

En mars dernier, Gemini Trains, une société britannique, annonçait vouloir lancer en 2029 des liaisons internationales depuis Londres Stanford.

Aujourd'hui, l’entreprise précise que ces services seront proposés sous la marque Uber Trains, renforçant ainsi un partenariat déjà établi avec Uber.

Ce choix marketing mise sur la notoriété mondiale de la marque américaine.

En mai, Uber avait annoncé un accord avec Gemini pour distribuer via son application les billets du futur train à grande vitesse sous la Manche.

Ce service est destiné à concurrencer Eurostar, actuellement en situation de quasi-monopole.

Le partenariat entre Uber et Gemini Trains se solidifie donc, reprenant le modèle déjà utilisé par Uber avec l’opérateur ferroviaire espagnol Iryo.

Gemini Trains estime que les nouvelles générations favorisant le train représentent une opportunité de dynamiser le secteur et de proposer des tarifs attractifs sur ce trajet européen majeur.

Le service couvrira initialement Londres-Paris, Londres-Lille et Londres-Bruxelles, avant une extension vers Cologne, porte d’entrée vers l’Allemagne et l’Europe de l’Est.

Contrairement à Eurostar, Uber Trains n’empruntera pas Saint-Pancras, saturée, mais la gare de Stratford International, connectée à la nouvelle Elizabeth line, ainsi que la gare d’Ebbsfleet dans le Kent.

Giorgio Armani est décédé le jeudi 4 septembre à l’âge de 91 ans, laissant derrière lui un empire du luxe évalué à plusieurs milliards d’euros.

Le styliste italien, disparu paisiblement à son domicile entouré de ses proches, n’avait pas d’enfant, ce qui rend la question de sa succession particulièrement cruciale.

Le groupe Armani, qu’il dirigeait depuis sa création, a généré 2,3 milliards d’euros de revenus en 2024 selon Reuters.

Conscient de cette problématique, Armani avait anticipé sa succession en confiant des responsabilités clés à des membres de sa famille, notamment sa sœur Rosanna, ses nièces Silvana et Roberta, ainsi que son neveu Andrea Camerana.

Il avait également placé son collaborateur de longue date Leo Dell’Orco, responsable du design masculin, au cœur du dispositif.

Ce dernier, considéré comme un membre de la famille, avait d’ailleurs remplacé Armani lors du salut final à la Fashion Week de Milan en juin dernier.

«Mon plan de succession consiste à transférer progressivement les responsabilités à mes proches et à mon équipe», avait-il confié au Financial Times fin août.

Armani souhaitait que la transition se fasse en douceur, sans rupture brutale, assurant la stabilité de la maison qu’il avait bâtie.

Selon Forbes, sa fortune personnelle était estimée entre 10 et 12 milliards de dollars, faisant de lui l’un des créateurs les plus riches du monde.

Le parcours inspirant de Mani

Mani, lycéen de 17 ans, nourrit depuis son enfance une passion pour la mode et le mannequinat.

« Depuis tout petit, j’admirais les femmes qui défilaient pour les grandes maisons de luxe et les Miss France. Je collais même leurs photos dans mon coffre à jouets », confie-t-il.

Son adolescence a été marquée par une longue période de maladie qui l’a fragilisé et lui a fait perdre confiance en lui.

Après cinq années difficiles, il a progressivement retrouvé sa confiance et développé une mentalité tenace, essentielle pour atteindre ses objectifs.

À 13 ans, il explore plusieurs domaines : création d’entreprise pour sa famille, gestion des réseaux sociaux, création de sites internet et formation en marketing.

« Ce qui m’anime aujourd’hui, c’est réussir tout en aidant les autres à réussir. »

L’été dernier, à Celles-sur-Belle, il assiste au défilé d’une jeune marque émergente, Manon Gautier, événement rare dans sa ville.

Fasciné par les créations et l’univers du défilé, Mani décide de se lancer dans le mannequinat et contacte la créatrice pour organiser un premier shooting.

Accompagné de sa belle-mère photographe, il découvre non seulement le mannequinat mais aussi la photographie, un domaine qui le passionne désormais.

Depuis, il a réalisé plusieurs shootings et a même défilé pour Manon Gautier, un an après avoir assisté à son premier défilé.

La naissance et l’ambition de Malam Models

Fort de son expérience, Mani décide de créer une structure permettant de combiner ses deux passions : la mode et l’accompagnement des jeunes talents.

En décembre 2024, il fonde Malam Models, une agence associative visant à offrir aux jeunes modèles une première expérience dans le monde de la mode.

Les supermarchés Carrefour en Italie passent aux mains de la multinationale alimentaire italienne NewPrinces Spa, qui a annoncé l'achat jeudi pour environ un milliard d'euros.

Le groupe NewPrinces possède notamment les marques Plasmon, Centrale del Latte, Giglio, Polenghi Lombardo et Delverde. Pour l'acquisition des quelque mille magasins, les autorisations des autorités compétentes sont maintenant requises, en vue de la clôture d'ici la fin de l'année avec Carrefour Nederland Bv et Carrefour Sa.

Avec cette opération, l'entreprise de Reggio Emilia atteint un chiffre d'affaires potentiel de 11 milliards d'euros, devenant ainsi le deuxième groupe italien du secteur alimentaire en termes de chiffre d'affaires et le premier opérateur en termes d'emploi, avec 13 000 salariés en Italie et plus de 18 000 dans le monde, ainsi que 11 000 dans les activités induites.

« L'acquisition de Carrefour Italia représente une étape fondamentale dans la trajectoire de croissance de notre groupe, a déclaré Angelo Mastrolia, président du groupe NewPrinces. – Avec cette opération, nous faisons un pas décisif vers l'intégration verticale entre la production et la distribution, en renforçant notre capacité à générer de la valeur tout au long de la chaîne d'approvisionnement ».

Depuis ce lundi 21 juillet, La Rochelle (Charente-Maritime) propose un nouveau service de transport gratuit en plein cœur de son centre-ville : trois navettes électriques, accessibles à tous, sillonnent désormais les principales artères commerçantes de la cité maritime.

Baptisées « Cœur de ville », ces navettes de 27 places (dont une dédiée aux personnes à mobilité réduite) desservent un circuit en forme de « huit » reliant des lieux emblématiques comme le Gabut, le Vieux Port, la place de Verdun, l’esplanade des parcs, le marché central et l’hôtel de ville. Le tout gratuitement, sans ticket ni abonnement. Connecté aux parkings-relais et au réseau de transport en commun de l’agglomération, ce nouveau dispositif vise à désengorger le centre-ville tout en facilitant les déplacements des Rochelais et des visiteurs. « Nous souhaitons offrir un accès apaisé et gratuit au centre-ville », explique Thibaut Guiraud, le nouveau maire de La Rochelle.

Deux véhicules circuleront en permanence, avec un passage toutes les 15 minutes environ, tandis qu’un troisième restera en réserve pour assurer la continuité du service en cas de panne ou de maintenance. Les navettes, achetées auprès de Bluebus (filiale du groupe Bolloré), ont coûté environ 300 000 euros pièce, hors taxes.

Une alliance inédite entre sport et musique voit le jour dans la Ville rose. Antoine Dupont, star du rugby français, le nageur multi-médaillé Léon Marchand et le célèbre duo de rappeurs Bigflo & Oli s’associent pour prendre part au capital du Toulouse Basketball Club (TBBC). Objectif affiché : faire monter le club en Betclic Élite, la première division du basket français.

L’information confirmée par le président du club Fabien Conte, marque un tournant pour le TBBC, qui évolue actuellement en Nationale 1 (troisième division). Après deux saisons sous l’étiquette du Stade Toulousain, le club a récemment retrouvé son identité propre et vise désormais l’élite. « Ces personnalités partagent une passion sincère pour le sport et pour Toulouse », a déclaré le président, enthousiaste à l’idée de ce projet commun.

C’est désormais officiel : Ma French Bank, la banque en ligne lancée par La Banque Postale, a définitivement cessé ses activités début juillet 2025, après une fermeture progressive amorcée en 2024. Près de 700 000 clients sont concernés par cette disparition. Si certains n’ont pas encore récupéré leurs fonds, il est encore temps d’agir.

Une fermeture actée, des fonds transférés à la CDC

Annoncée depuis juin 2024, la fermeture de Ma French Bank s’est déroulée par étapes. Dès décembre dernier, les services de paiement mobile avaient été interrompus. Aujourd’hui, la procédure touche à sa fin : le site spécialisé Moneyvox confirme la disparition totale de la banque.

Conformément au Code monétaire et financier (article L. 518-17), les avoirs restants sur les comptes non clôturés ont été transférés à la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Pas de panique pour autant : ces fonds ne sont pas perdus.

Avec un peu plus de 1.2 millions d’abonnés sur X (anciennement Twitter), Cerfia est un des médias hybrides les plus suivis du réseau social racheté par Elon Musk.

Le milliardaire d’extrême-droite Pierre-Édouard Stérin via son poulain Adrien Aversa vient de racheter Cerfia via sa société Médiane, elle-même détenue par le groupe Marmeladz, qui appartient à Stérin et financé selon le média Impact via son fonds d’investissement Otium Capital.

La marque Cerfia a été transmise à la société DM NEWS, dirigée par l’entreprise MEDIANE qui est dirigée par Alban du Rostu, qui n’est autre que l’un des artisans du projet Periclès de Pierre-Édouard Stérin.

Sur X, beaucoup d’internautes ne sont pas choqués, ils avaient remarqués que les tweets récents de Cerfia étaient « droitisés ».